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Volleyball Champions League : Pérouse bat Duren, Trente dépasse les champions

Volleyball Champions League : Pérouse bat Duren, Trente dépasse les champions

L’équipe d’Anastasi, également invaincue dans la compétition continentale, arrive à la 15e victoire de suite. Pour la victoire de l’équipe de Lorenzetti sur Zaksa

Duren-Pérouse 0-3 (17-25, 23-25, 21-25) La série de victoires continue pour Pérouse, qui a remporté sur le sol allemand son troisième succès en Ligue des champions et son quinzième consécutif (dont dix en Superlega et deux en Supercoppa).

Il n’y a pas eu de match, compte tenu de la nette différence technique entre les deux formations, même si l’entraîneur Andrea Anastasi a une fois de plus choisi de donner amplement d’espace au chiffre d’affaires, laissant Giannelli, Leon, Russo et Rychlicki au repos, choisissant d’alterner de deux pigistes Piccinelli et Colaci. Initialement, Sir s’est rangé du côté de Ropret comme directeur et Herrera comme opposé, Flavio et Solè au centre, Semeniuk et Plotnitskyi comme attaquants.

Dès le début, nous avons compris quelle aurait été la tendance du match, Pérouse prenant les rênes du jeu entraîné par un Plotnytsky dévastateur (8 points et trois as dans la fraction), Duren restant accroché jusqu’à 16-18 (erreur de coup par Herrera) puis clôturant avec l’as de Cardenas (17-24) et le dernier point de 17-25 renversé par Semeniuk.

Chiffre d’affaires

Le deuxième set a été plus disputé avec Pérouse qui a tenté à plusieurs reprises de s’échapper devant la progression d’Herrera (7 points et 70% en attaque dans le set), mais l’équipe locale, emportée par les acclamations incessantes du public de l’Arena Kreis, était resté toujours attaqué jusqu’à 23-23, puis ce sont les points gagnés avec un coup de poing de Ropret et avec une erreur d’attaque d’Ernastowicz qui ont fermé la fraction (23-25) et envoyé Pérouse à 0-2. Dans le troisième set, Duren a prolongé au début jusqu’à 8-5, mais Pérouse a de nouveau égalisé à 11-11 (as de Solè) puis s’est étendu à 12-15. En vertu de cette marge, l’équipe allemande n’a pas pu se relever également en raison d’une série d’erreurs, permettant au sextuor Anastasi de consolider sur 19-22 (erreur en attaque de Gevert, meilleur buteur total de son équipe avec 12 points) et de fermer le match avec une attaque de Plotnitskyi (meilleur buteur du match avec 14 points et 59% en attaque) déviée sur le mur et assignée grâce au check. Sir sera de retour sur les terrains samedi en championnat, face à Prisma Taranto à 16h au PalaBarton, avant de repartir au Brésil pour la coupe du monde des clubs. (Antonello Menconi)

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Trente – Kedzierzyn Kozle 3-1 (25-20, 17-25, 26-24, 25-23) A la troisième tentative, Trentino Itas démystifie sa propre “bête noire” européenne. Dans le remake des deux finales de Ligue des champions des deux dernières saisons, l’équipe d’Angelo Lorenzettti parvient à vaincre les Polonais du Groupe Azoty Zaksa Kedzierzyn-Kozle. Une victoire en quatre sets qui sent non seulement la revanche mais qui signifie aussi une troisième victoire pleine en autant de matches de ce groupe de Ligue des champions, avec la seule première place du groupe attenante à l’issue du match aller devant les Polonais. Dans les tribunes, en parlant de Polonais et de Trento, également l’ancien passeur Lukasz Zygad, spectateur intéressé du match aux côtés d’Emanuele Birarelli. Au départ, un sextuor typique pour les joueurs du Trentin avec Kaziyski confirmé en face et la diagonale Lavia-Michieletto à la place-4. Dans les rangs polonais, seul le central américain David Smith est sur le banc. Départ au sprint pour l’équipe locale, qui grâce au service tournant de Michieletto mène à 5-1 obligeant le banc polonais à arrêter le match. Une marge d’avantage que les joueurs du Trentin conservent (10-5), grâce aussi à quelques erreurs dans la phase de construction du jeu par les Polonais. Mais Lorenzetti, en l’espace de quelques échanges, se retrouve à arrêter le jeu dès que ses joueurs tirent deux ballons et se mettent à tousser en réception : Zaksa est ainsi redescendu (11-9) avec Janusz qui trouve plus de concret dans sa attaquants autour (15-13). Le meneur de jeu polonais bloque Lavia (17-16) mais au centre Lisinac et Podrascanin gardent les hôtes devant (20-16 avec l’as de Lavia). Dans les phases finales de la partielle, Trento n’a fait aucune erreur: mains de Michieletto pour 23-19 suivies d’un as du même Golden Boy qui a effectivement fait défiler le générique de fin sur la partielle. Deux contres d’affilée en faveur des Polonais baptisent l’avantage de l’hôte (3-5) à l’entame du deuxième set, un Zaksa immédiatement sur le ballon et qui reprend 6-11 grâce au contre de Kalembka sur Kaziyski. Au milieu du set, Lorenzetti avait déjà disputé ses deux temps-morts discrétionnaires, à l’intérieur face à Dzavoronok (9-15) mais c’est tout le système de jeu Trentino Itas qui peine tant : 11-20 et les Polonais qui tiennent les rênes du match sans trop de soucis jusqu’à la fin du set. Le troisième set commence par un frisson qui parcourt le dos de toute la Blm Group Arena : sur 1-2, Lavia reste au sol en tombant mal d’un mur, parvient à sortir sur ses jambes même s’il a mal et Dzavoronok entre sur le terrain . Le set devient aussitôt équilibré et combattu (7-7), le premier break n’intervient que sur un double dribble sifflé au libre Shoji sur reconstruction (13-11). Trento joue bien quelques balles et Zaksa pas : moral, avantage du terrain pour 18-15, Sliwka garde ses partisans en ligne (20-18) avant une finale partielle dans laquelle les Polonais sont à nouveau dangereux parvenant à marquer des points avec un longue défense. L’égalité est servie à 21-21 avec l’as de Kacmarek. Le bloc du nouveau venu Gabriele Nelli vaut 23-22 pour Trentino Itas, mais Zaksa parvient à ramener le partiel aux avantages où deux erreurs de suite en attaque par le sextuor polonais donnent le partiel à Sbertoli et écrasant compagnie. Prêt à partir et au début du quatrième set, c’est immédiatement 4-0 pour les Dolomites et temps mort pour les invités. L’as de Michieletto pour le 6-3 à domicile, qui est à 13-9, sentant plus de frissons parcourir sa colonne vertébrale. Car même le marteau Dzavoronok tombe mal d’un tuyau et reste au sol avec douleur à la cheville droite pendant quelques instants, mais à la fin il se relève et continue à jouer. Dans un quatrième set où le coup de main de Kacmarek sur Kaziyski permet aux Polonais de se rattraper (15-13) obligeant Lorenzetti à passer un temps mort discrétionnaire. L’invasion de Michieletto sur le filet vaut 15 partout, mais dès que Sbertoli peut rejouer deux défenses à volonté, les points de Kaziyski arrivent en premier puis Dzavoronk pousse le score à 19-17. Mais même dans les derniers points c’est une vraie bagarre : Kaziyski marque 21-20 mais les Polonais frappent tout de suite, avant que le capitaine bulgare de Trente n’inscrive le une-deux décisif pour 23-21. La vérification vidéo révèle l’invasion de buts de Lisinac qui efface la première victoire de Trento, mais la deuxième et décisive vient grâce aux mains de Dzavoronok pour la finale 25-23. (Nicolas Baldo)

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