Cela ressort d’une décision rendue publique récemment par le tribunal du sous-district de Haarlem.
Changement de réservation gratuit
La femme travaille chez KLM depuis 2018 en tant que soi-disant agent qui gère les vols pour KLM Cityhopper. Elle a également parfois aidé à la gestion d’autres vols.
En février, la compagnie aérienne a annoncé qu’elle licenciait la femme après qu’une enquête a allégué qu’elle avait réservé gratuitement la famille de cinq membres de sa sœur sur un autre vol vers Dubaï début janvier. Elle leur aurait également offert des surclassements gratuits en classe affaires.
Classe affaire
L’enquête a révélé que l’employé effectuait ces actions sur des ordinateurs sur lesquels un collègue, un intérimaire et un stagiaire étaient connectés.
Avec le premier surclassement, même cinq passagers qui avaient réservé en classe affaires ont été transférés en classe économique.
Le déni
La femme a nié avoir quoi que ce soit à voir avec la nouvelle réservation et les surclassements. Elle a déclaré qu’elle s’était disputée avec sa sœur et qu’elle n’était pas du tout au courant des projets de voyage de la famille.
D’après le rendu public récemment prononciationà propos de quel magazine économique Devis écrit auparavant, il semble que le tribunal de sous-district ne croit rien de sa défense.
Selon le juge, l’enquête de KLM sur les données des systèmes, les images des caméras et les entretiens avec la femme et ses collègues a montré qu’elle a commis les actes qui lui sont reprochés.
Pas d’indemnité de départ
Le tribunal de sous-district conclut également que la femme a agi “sérieusement coupable”, à la suite de quoi KLM peut la mettre à la rue sans paiement de transition ni indemnité de départ supplémentaire. De plus, les chances d’obtenir des allocations de chômage en cas de licenciement fautif sont faibles.