Fin novembre, Thomas (87 ans) et Janice Walker (85 ans) ont été retrouvés assassinés dans leur propre maison à Clearfield dans l’Utah, aux États-Unis.
Le couple avait été battu avec un marteau, puis abattu.
L’agresseur était leur propre petit-fils, a indiqué l’Etat policier dans un communiqué de presse.
Terroriser le quartier
Toujours dans la maison
Le 23 novembre à 15h10, la police a reçu un appel d’urgence de la fille d’un couple, qui vivait également dans la maison avec son fils.
Elle a dit qu’elle était rentrée chez elle pour trouver sa mère et son père tués dans le garage.
De plus, la femme a dit qu’elle croyait que c’était son fils qui était l’agresseur.
– Il est toujours dans la maison, dit-elle.
Arrêté sans drame
Peu de temps après, la police est arrivée sur les lieux, où elle a trouvé la femme, âgée de 60 ans, dans le garage avec ses parents assassinés.
L’homme a été interpellé sans drame, et a reconnu lors de son interrogatoire que c’était lui qui avait tué les grands-parents.
Il est maintenant accusé, entre autres, de deux meurtres intentionnels, de possession d’une arme illégale et de possession de drogue.
Le médecin n’a jamais rien vu de tel
Fermé dans le garage
Interrogé, l’homme a déclaré qu’il pensait que quelqu’un de la famille allait lui faire du mal et qu’il avait frappé ses grands-parents avec un marteau.
Il aurait ensuite coupé le fil de la porte du garage, afin qu’elle ne puisse pas être ouverte. Il les a ensuite abattus tous les deux.
Il a été libéré sous caution dans l’attente d’un procès à la suite d’une agression brutale en 2019, selon la police.
Il aurait ensuite agressé sa petite amie dans le même garage, se cognant violemment la tête sur le capot d’une voiture.
L’homme est désormais en garde à vue, sans possibilité de libération sous caution.
Abattu et tué par le chien
A travaillé comme bénévole
Selon la police, Thomas et Janice étaient connus pour leur travail bénévole dans la communauté locale.
Ils étaient membres de la Clearfield City Citizens Patrol.
– Ils ont travaillé d’innombrables heures pour leur communauté locale, jusqu’en 2019, écrit la police dans un communiqué de presse.