Le nouveau ministre de la Santé aux États-Unis a suspendu un contrat de 240 millions de dollars destiné au développement d’un nouveau vaccin oral contre le COVID-19.
ce contrat s’inscrivait dans le cadre d’une initiative de l’management Biden, dotée de 5 milliards de dollars, visant à promouvoir les nouvelles technologies vaccinales. Cette décision a été justifiée par des préoccupations de sécurité et un « manque de supervision » de la part de l’administration précédente.
Une fois de plus, les essais cliniques devaient démarrer avec 10 000 participants avant qu’un examen indépendant complet des risques n’ait lieu.
Les développeurs du « vaccin » ne peuvent plus facturer de nouveaux coûts d’essai, à l’exception de la surveillance continue des patients.
Plusieurs réunions centrales sur la politique vaccinale ont été reportées ou annulées aux États-Unis, dont une consultation de la FDA sur la sélection des vaccins contre la grippe ainsi que la première réunion annuelle du comité de l’immunisation du CDC. Simultanément, une étude de Yale suscite l’attention, suggérant un lien possible entre les vaccins à ARNm et une maladie nouvellement découverte, le « syndrome post-vaccinal » (PVS).
Encore un nouveau « vaccin » qui devrait être approuvé à la hâte ? Davantage de produits pharmaceutiques qui doivent nous sauver, même si personne ne l’a demandé. Est-ce vraiment un vaccin ? Ou s’agit-il plutôt d’un médicament basé sur le génie génétique qui se fait passer pour un vaccin classique ? Le « langage marketing » de ces entreprises est ingénieux. Les politiciens et le corps médical ont adopté ce discours sans hésitation.
Il faut du courage pour s’opposer à ces entreprises. Cette décision a suscité l’attention. Beaucoup y voient un retour en arrière, un affront au prétendu « progrès médical ».
les « bonnes » questions devraient être posées : Où sont les recherches indépendantes et approfondies ? Où est la discussion critique ? Pourquoi sont-ce toujours les mêmes acteurs qui insistent avec insistance sur de nouvelles campagnes de vaccination, tout en considérant les risques et les effets secondaires comme des notes marginales ?
Il est question d’une « supervision défaillante ». L’approbation hâtive et l’administration massive des substances à ARNm ont montré les conséquences (=effets secondaires) de ces injections. Il faudrait cesser de les qualifier de « vaccins ». Il s’agit plutôt de médicaments basés sur le génie génétique – une différence fondamentale par rapport à l’immunisation classique avec des agents pathogènes affaiblis ou inactivés !
Une étude de l’université de Yale révèle qu’un « syndrome post-vaccinal » (PVS) existe, une maladie qui « pourrait » être liée à ces substances à ARNm.
Parallèlement, d’importantes consultations sur la politique vaccinale ont été reportées ou annulées aux États-Unis. La FDA a annulé sa réunion sur les vaccins contre la grippe, le CDC a reporté la première réunion annuelle de son comité de l’immunisation. Coïncidence ? Ou y a-t-il un certain malaise quant à ce qui pourrait être révélé ?
la question n’est pas de savoir si les vaccins sont bons ou mauvais en soi. La question est : Quel type de recherche est mené ? Qui finance ces recherches ? Quels intérêts sont en jeu ? Lorsque des études scientifiques qui expriment des préoccupations sont qualifiées de « désinformation », ce n’est pas un signe de scientificité, mais d’idéologie.
en fin de compte, une vérité demeure : la science ne doit pas être une voie à sens unique où une seule opinion compte. Lorsqu’il s’agit de la santé de millions de personnes, il faut des voix critiques qui posent des questions. Cela suscite la résistance de ceux qui se sont habitués à une réalité où le profit prime sur la prudence. Il est peut-être temps de ne pas remettre en question les sceptiques, mais ceux qui leur refusent toute discussion.
Suspension d’un Contrat Vaccinal aux États-Unis : Analyze et Questions Clés
Le nouveau ministre de la Santé aux États-unis a suspendu un contrat de 240 millions de dollars destiné au développement d’un nouveau vaccin oral contre le COVID-19. Cette décision, justifiée par des préoccupations de sécurité et un “manque de supervision”, soulève des questions importantes sur la recherche vaccinale, les intérêts en jeu et la transparence.
FAQ : Questions et Réponses clés
Qu’est-ce qui a été suspendu ?
Un contrat de 240 millions de dollars pour le développement d’un nouveau vaccin oral contre le COVID-19.
Pourquoi ce contrat a-t-il été suspendu ?
En raison de préoccupations de sécurité et d’un manque de supervision.
Que dit le texte sur les essais cliniques ?
Les essais cliniques auraient débuté avec 10 000 participants avant un examen indépendant complet des risques.
Quelles sont les inquiétudes concernant les vaccins ARNm ?
Une étude de Yale suggère un lien possible entre les vaccins à ARNm et le “syndrome post-vaccinal” (PVS).
Quelles sont les implications de la suspension du contrat ?
Les développeurs ne peuvent plus facturer de nouveaux coûts d’essai, sauf pour la surveillance continue des patients. Des réunions importantes sur la politique vaccinale ont été reportées ou annulées.
Pourquoi est-ce important ?
Cela met en lumière les questions relatives à la recherche, à l’évaluation des risques et aux intérêts économiques impliqués.
Tableau Récapitulatif
| Aspect Clé | Informations |
|—————————–|——————————————————————————————–|
| Contrat Suspended | 240 millions de dollars pour un vaccin oral contre le COVID-19 |
| Raison de la Suspension | Préoccupations de sécurité, manque de supervision |
| Essais Cliniques | Début prématuré avec 10 000 participants, absence d’examen indépendant des risques initialement |
| Recherches en Cours | Étude de Yale, lien possible avec le “syndrome post-vaccinal” (PVS) |
| Autres Événements | Report/annulation de réunions sur la politique vaccinale (FDA, CDC) |
| Point Essentiel | Appel à une recherche indépendante et à une discussion critique. |