Nord Stream AG divulgué lundi le délai prévu pour la fin de l’indisponibilité du pipelinemenant à la ville allemande de Greifswald, est 1 avril 2023 d. Les données de l’opérateur montrent qu’il n’y a pas de livraisons de gaz entre des points de la mer Baltique et l’Allemagne.
Le gazoduc Nord Stream 1» entre la Russie et l’Allemagne a été temporairement suspendu pour réparation le 31 août, mais l’opérateur a prolongé l’arrêt suite à la décision du G7 d’imposer un plafonnement des prix sur les importations de pétrole russe.
Alors le pipeline a été endommagé en septembre dans la zone économique exclusive de la Suède dans la mer Baltique.
Les enquêteurs suédois trouvé des traces d’explosifs sur le site des canalisations endommagées, ce qui confirme qu’un sabotage grossier a été commis.
Trois fuites dans Nord Stream 1 et Nord Stream 2 ont été découvertes dans quelques heures le 26 septembre.
Le premier d’entre eux a été détecté sur Nord Stream 2 près de l’île danoise de Bornholm. Deux fuites du Nord Stream ont alors été enregistrées. L’Agence danoise de l’énergie a signalé qu’une grande quantité de gaz avait pénétré dans la mer.
Plus tard Des sismologues suédois ont rapportéqu’ils ont enregistré deux explosions le long des tracés du pipeline.
Quelques jours plus tard les garde-côtes suédois ont découvert une quatrième fuite sur les installations.
La Suède et le Danemark, qui ils ont mené une enquête, ils ont concluce les quatre fuites Nord Stream 1 et 2 sont causés par des explosions. Cependant, ils n’ont pas précisé qui pourrait être responsable de l’accident.
Dirigeants occidentaux a qualifié l’incident d’acte délibéré de “sabotage”visant à perturber les infrastructures et l’approvisionnement énergétiques de l’Europe.
De son côté La Russie a blâmé l’Occident pour les explosions. Il y a quelques jours, elle a annoncé que bla marine ritan a orchestré les explosions de gazoducs.
Moscou a à plusieurs reprises qualifié de “stupides” les accusations, qu’elle était derrière les attentats du Nord Stream. Les responsables russes ont souligné que Washington a un motif de sabotage, car il veut vendre plus de gaz naturel liquéfié (GNL) à l’Europe. Les États-Unis ont cependant nié toute implication.