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Réaction de Georges-Louis Bouchez (MR) à la possibilité d’une majorité alternative à la Fédération Wallonie-Bruxelles, jeudi en soirée.

Jeudi en Prime : Georges-Louis Bouchez (MR) réagit à la menace d’une majorité alternative à la Fédération Wallonie-Bruxelles. Au lendemain des élections régionales et communales de 2018, la formation d’un gouvernement en Fédération Wallonie-Bruxelles s’annonce compliquée. En effet, la majorité sortante, composée du PS, du MR et d’Ecolo, ne dispose plus de la majorité absolue au parlement. Une situation qui inquiète Georges-Louis Bouchez, président du MR, qui se préoccupe de la possible formation d’une majorité alternative. Dans cet article, nous reviendrons sur les déclarations du leader des libéraux francophones concernant la formation du futur gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles.


Georges-Louis Bouchez, président du Mouvement Réformateur (MR), a mis en avant le respect des principes qu’il a évoqués concernant la création d’un master en médecine à l’Université de Mons (UMons). Il nie toute opposition à la création d’un master mais met en avant le coût avancé de 450 000 euros qui est une dépense récurrente annuelle pour l’UMons. « On ne peut pas dépenser de l’argent que l’on n’a pas », a-t-il ajouté. Il a également balayé les arguments de ceux qui défendent l’arrivée d’un master en médecine à Mons. Selon lui, les aides à l’installation doivent être travaillées pour faire en sorte qu’un étudiant diplômé ait envie de travailler dans la province de Hainaut plutôt que de dupliquer les formations de ville en ville.

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Sur la question de l’accès facilité à la formation pour des étudiants hennuyers, le Président du MR a souligné que le gouvernement est ouvert à continuer dans la direction de l’aide sociale aux étudiants. La ministre Glatigny a déjà augmenté de façon significative l’aide à la réussite, les bourses d’étude et les aides sociales attribuées aux universités.

Montois, Georges-Louis Bouchez explique ne pas s’être levé un matin en disant “on va empêcher Mons d’avoir une faculté de médecine”. Il veut travailler dans l’intérêt de sa ville et suggère d’autres pistes pour le développement de l’université. Selon lui, il serait important que les universités puissent se spécialiser. Si l’Université de Mons veut lancer un master qui n’existe pas en matière d’intelligence artificielle, d’économie circulaire, il offre un “plus” pour l’intérêt général selon le président.

En somme, Georges-Louis Bouchez met en avant les principes essentiels concernant la création d’un master en médecine à l’UMons. Il est favorable à la création d’un master en médecine, mais met l’accent sur les enjeux financiers et les futures spécialisations de l’université. Il souhaite travailler dans l’intérêt général et promouvoir l’aide sociale aux étudiants pour leur permettre d’accéder plus facilement à une formation universitaire.

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