La décision de la commission électorale de ne pas officialiser la liste d’une faction dissidente a ajouté un nouveau chapitre à l’élection interne du radicalisme.
L’élection est prévue pour le 18 mai.
L’opposition a exprimé « une profonde indignation » face à la « grave décision de la commission électorale du parti de proscrire notre participation aux prochaines élections internes ».
dans un communiqué, ils ont estimé qu’il s’agissait d’« un affront à la volonté des membres » et que cela « témoigne d’une perte totale d’impartialité de la part de l’organe électoral », tout en créant « un précédent institutionnel alarmant ».
Ils ont indiqué que la commission électorale a agi comme « un tribunal ad hoc au service des intérêts » d’une autre liste, « dont les membres répondent directement à la direction du parti » et « nous a illégitimement refusé le droit constitutionnel d’être élus ».
Pour cette faction, « depuis des années, la direction actuelle du parti ne respecte pas systématiquement la charte organique, utilisant le parti comme une PME où trois personnes décident du sort de tous ». Ils ont rappelé qu’ils avaient « élevé la voix et présenté une option sérieuse et représentative, composée de plus de 300 candidats qui composent nos listes locales et provinciales et soutenue par plus de 500 garanties dans toute la province ».
Ils ont soutenu que « toutes les exigences établies par la réglementation interne ont été respectées » et que « notre proposition vise à démocratiser le parti et à redonner aux membres le rôle qu’ils méritent ». C’est pourquoi « nous voulons que ce soient eux, par leur vote, qui décident s’ils soutiennent ou non notre vision de l’avenir du radicalisme, et non trois personnes retranchées derrière un bureau ».
Enfin, ils ont indiqué que « la liste réaffirme son engagement en faveur de la transparence et de la participation ». « Nous nous battrons dans tous les domaines nécessaires pour défendre le droit des membres à choisir librement ».
Crise au sein du parti : L’élection interne du radicalisme secouée par une polémique
Introduction
La décision de la commission électorale de ne pas officialiser la liste d’une faction dissidente a déclenché une crise au sein du parti, à l’approche de l’élection interne prévue pour le 18 mai. L’opposition dénonce une décision qu’elle qualifie d’injuste et de partiale.
Les accusations de l’opposition
Dans un communiqué, la faction dissidente a exprimé sa “profonde indignation” face à la décision de la commission électorale. Elle accuse l’organe électoral d’avoir agi de manière partiale, favorisant une autre liste et bafouant la volonté des membres du parti.Ils considèrent cette décision comme un “affront” et un “précédent institutionnel alarmant”.
L’opposition affirme que la commission électorale a agi comme un “tribunal ad hoc au service des intérêts” d’une autre liste, dont les membres seraient directement liés à la direction du parti. Elle dénonce également le refus illégitime du “droit constitutionnel d’être élus”.
Les griefs contre la direction actuelle
La faction dissidente accuse la direction actuelle de ne pas respecter les règles internes du parti, l’accusant de fonctionner comme “une PME où trois personnes décident du sort de tous”. Ils rappellent avoir présenté une option “sérieuse et représentative”, composée de plus de 300 candidats et soutenue par de nombreux garants. Ils affirment avoir respecté toutes les exigences réglementaires et visent à “démocratiser le parti” et à redonner aux membres un rôle central.
L’engagement de la faction
La liste dissidente réaffirme son engagement en faveur de la “transparence et de la participation” et promet de se battre pour défendre le droit des membres à choisir librement.
Tableau récapitulatif des principaux points de discorde
| Aspect | Position de la faction dissidente |
| :———————————– | :————————————————————————————————————————————————— |
| Décision de la commission électorale | Injuste, partiale, favorisant une autre liste |
| Respect des règles internes | La direction actuelle ne respecte pas les règles internes |
| Démocratie et participation | Souhaite démocratiser le parti et redonner aux membres un rôle central |
| Engagement | Défendre le droit des membres à choisir librement. |
FAQ – Questions et réponses clés
Qu’est-ce qui a déclenché la polémique ? La non-officialisation de la liste d’une faction dissidente par la commission électorale.
Quand l’élection est-elle prévue ? Le 18 mai.
Que reproche l’opposition à la commission électorale ? D’être partiale et de favoriser une autre liste.
Quel est le principal objectif de la faction dissidente ? Démocratiser le parti et redonner aux membres leur rôle.
Quelle est la position de la faction sur la direction actuelle ? Elle accuse la direction de ne pas respecter les règles internes.
Quel est l’engagement de la faction? Lutter pour défendre le droit des membres à élire.