L’inflation des soins de santé est en hausse et la couverture de Mohit doit être améliorée. La somme assurée peut s’avérer trop faible pour couvrir ne serait-ce qu’une seule facture d’hôpital au cours des prochaines années, sans parler des frais d’hospitalisation pendant les années de retraite. L’augmentation des coûts des soins de santé rend nécessaire de revoir périodiquement la couverture santé et de la faire évoluer en fonction des coûts actuels connus et des coûts futurs attendus. Reporter une mise à niveau à des années ultérieures peut s’avérer coûteux. Les compagnies d’assurance seraient heureuses de se mettre à niveau lorsque Mohit est jeune et en bonne santé. Le faire à un âge plus avancé peut avoir un double inconvénient. Premièrement, il attirera des primes plus élevées et deuxièmement, si Mohit est diagnostiqué avec une maladie grave comme le diabète, la thyroïde ou quelque chose de pire, les coûts et la mise à niveau seront trop élevés, ou la couverture plus élevée peut être entièrement refusée par la compagnie d’assurance.
Une mise à niveau unique peut nécessiter une prime plus élevée qui pourrait nuire aux économies de Mohit. Au lieu de cela, une mise à niveau ciblée peut être planifiée tous les 7 à 10 ans. Mohit peut faire un investissement au lieu de payer la prime, et construire un corpus qui financera cette mise à niveau. Il peut ensuite prendre périodiquement une seule mise à niveau premium pour augmenter la couverture si nécessaire. Alternativement, Mohit peut répartir son épargne entre une couverture santé et un corpus santé. La couverture peut être financée par des économies et mise à niveau à intervalles réguliers pour couvrir les maladies et les éventualités à coût élevé. Le corpus santé est simplement un investissement qui est mis de côté en cas de besoin. S’il n’y a pas d’événement de mauvaise santé, le corpus peut être ajouté au corpus de la retraite au fur et à mesure que Mohit vieillit.
Le contenu de cette page est une gracieuseté du Centre for Investment Education and Learning (CIEL).
Contributions de Girija Gadre, Arti Bhargava et Labdhi Mehta.