2023-05-12 16:34:50
Une large alliance s’est réunie pour la loi sur les gros consommateurs d’électricité, qui sera soumise au vote le 18 juin 2023. Le ton est donné par les extrémistes, les marxistes et les radicaux.
“Partenaire:À l’intérieur » du comité, qui promeut le oui à la loi sur les gros consommateurs d’électricité, se trouvent un certain nombre de groupes extrémistes de gauche en plus de partis prétendument bourgeois. Pas étonnant : le porte-parole médiatique et organisateur de la campagne est Dimitri Rougy, militant et membre du PS avec le slogan personnel « Solidarité. Écologiquement. Féministe”. Le FDP et ses semblables ne semblent pas trouver problématique que Rougy ne se batte pas pour la nature mais pour le socialisme. “Surmonter la crise climatique signifie toujours vaincre le capitalisme.” C’est du moins leur slogan.
Symbole des groupes extrémistes
Par exemple, sur la page d’accueil du Comité du Oui, qui est soutenu même par des partis bourgeois, il y a un poing noir fermé tenant un oignon, sans aucune indication de ce dont il s’agit.
Le poing fermé est un symbole bien connu des groupes extrémistes. Il est décrit sur Wikipédia comme suit : “Contient des représentations de violence”.
#SystemChangeNotClimateChange !
Les recherches montrent que les « poings violents » se font appeler « Agriculture d’avenir (LMZ) ». La co-présidente de LMZ est Jelena Philipovic, conseillère de l’Alliance verte d’extrême gauche et “militante pour le climat”. Leur devise est : « #SystemChangeNotClimateChange ! ».
Un autre membre est Dominic Waser des Verts. Il a été cité dans le journal comme suit : “Je suis en couple avec une femme et deux hommes”. Il a également scandé publiquement : “Changement de système, pas changement climatique !” Aussi avec le poing de force.
« Anders radicaux »
Selon les recherches, un autre comité qui n’apparaît qu’avec une photo – c’est-à-dire de manière anonyme – est le groupe “Grassrooted”. Un mouvement radical se cache également derrière Grassroots : “Afin de construire une société durable, socialement durable et juste, un changement radical est nécessaire”, lit-on. Et : « Le système doit être repensé – radicalement différent.
Le texte se termine par des salutations de “solidarité” socialiste. Un autre groupe inconnu ramant dans le bateau avec le FDP se fait appeler « Fian Schweiz » : Fian Schweiz s’engage « pour une vie dans la dignité. Pour le droit à l’alimentation. Sans aucune intervention de la Suisse.»
“Alternatives au capitalisme”
Les grévistes du climat, en revanche, ne sont pas des étrangers. Celles-ci “exigent que la Suisse déclare une urgence climatique nationale afin que la Suisse reconnaisse la crise climatique et agisse en conséquence”.
Sous le logo, qui ressemble étrangement à un incendie criminel, se cache une menace énigmatique : “Si nos demandes ne peuvent être satisfaites dans le système actuel, un changement de système est nécessaire”. Vous pourrez bientôt voir où le voyage se dirige : « Le groupe de travail a organisé plusieurs conférences à Lausanne en 2022 sur le thème des alternatives au capitalisme », se vante-t-on.
Grands-parents climatiques
Le GSoA ne devrait pas manquer à l’assemblée extrémiste. Un autre regroupement est . Elle annonce qu’elle a participé au référendum contre “l’initiative d’autodétermination” (2018), pour la loi modifiée sur les armes à feu et pour l’accord de Schengen (2019) et contre l’initiative de destitution de l’UDC, qui a été votée en 2020.”
Le FDP et consorts ont-ils remarqué que leurs amis ne veulent pas protéger le climat, mais veulent écraser le capitalisme ?
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