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Des personnes portant des uniformes militaires historiques dansent à côté d’un train rétro nommé Pobeda (Victoire) lors des célébrations du Jour de la Victoire à Saint-Pétersbourg, en Russie, le 6 mai 2022. Photo/REUTERS/Anton Vaganov
Mais ces sanctions ont-elles beaucoup d’effet sur les conditions économiques en Russie ? Apparemment, jusqu’à présent, leur situation économique est encore bonne.
Les sanctions visent à geler les réserves financières de la Russie, en retirant certaines des plus grandes banques du pays du système de paiement SWIFT.
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Les sanctions interdisent également aux navires et avions russes d’entrer dans leurs ports et leur espace aérien, introduisent des restrictions à l’exportation pour certaines technologies de pointe et imposent un embargo sur le pétrole et le charbon de Moscou.
Simultanément, plus de 1 200 entreprises étrangères ont suspendu ou limité leurs opérations en Russie depuis le début du conflit en Ukraine.
Selon une base de données de l’Institute of Chief Executive Leadership de l’Université de Yale. Parmi les grands noms de la liste qui ont suspendu leurs opérations en Russie figurent des marques telles qu’Apple, McDonald’s, IKEA, Visa et MasterCard.
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Jusqu’à présent, les sanctions ont donné des résultats mitigés. D’une part, le produit intérieur brut (PIB) de la Russie a chuté de 4 % au deuxième trimestre par rapport à la même période l’an dernier.
Les nouvelles restrictions d’approvisionnement ont non seulement envoyé une inflation à deux chiffres, mais ont également affaibli les producteurs russes en les privant de composants importés essentiels au perfectionnement des produits.
