L’influenceur Simon Castaldi s’exprime sur BFMTV suite à l’affichage de messages de la DGCCRF sur son compte Instagram.

L’influenceur âgé de 23 ans, ayant été contraint d’afficher des messages de la DGCCRF sur son compte Instagram, s’est expliqué vendredi soir dans l’émission BFMTV. “Je suis dépassé depuis plusieurs mois”, a déclaré Simon Castaldi en réaction à son épinglement par la Répression des fraudes (DGCCRF), tout comme Capucine Anav et Illan Castronovo, en raison de leurs pratiques commerciales. “Ça m’a fait bizarre, mais je ne suis pas contre. Comme cette injonction est seulement parce que j’ai oublié d’insérer le hashtag #sponsorisé, ce n’est pas un drame comparé à d’autres personnes qui ont commis de véritables arnaques, de vrais vols”, a relativisé l’influenceur, qui compte plus de 340 000 abonnés sur Instagram. Dans une story sur son compte, où il a reconnu avoir été “un petit peu naïf”, Simon Castaldi s’est félicité que “les choses bougent et que l’Etat prenne conscience des dérives des réseaux sociaux”. Sur BFMTV, il a également défendu sa position en déclarant: “Je n’ai volé personne. Les partenariats que j’ai réalisés étaient pour des parfums, des bonbons, des choses qui ne vont pas ruiner les gens”. Il a ajouté: “Je n’ai jamais vendu de pilules qui empêchent de mourir. Je n’ai jamais fait de placement pour des cryptomonnaies. J’aurais pu faire des placements qui m’auraient apporté beaucoup d’argent. Je ne les ai pas faits parce que je savais que c’était illégal”. Le fils de Benjamin Castaldi a également exprimé son avis sur la croisade menée par Booba contre les “influvoleurs”. Bien qu’il se soit montré réservé sur les méthodes du rappeur très suivi sur Twitter, Simon Castaldi est d’accord avec lui sur le fond: “Booba a raison parce qu’il y a des choses qui sont globalement graves, avec de vrais vols, de vrais influvoleurs. Pour moi, je ne fais pas partie de cette catégorie”.
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