Les Philippins divisés dans un sondage sur la “qualité de vie”

MANILLE, Philippines – Les adultes philippins sont divisés sur la question de savoir si la qualité de leur vie s’est améliorée ou détériorée par rapport à il y a un an, selon la première enquête sur les stations météorologiques sociales (SWS) réalisée sous l’administration du président Ferdinand Marcos Jr.

L’enquête, menée du 29 septembre au 2 octobre et publiée samedi, a révélé que 30% des personnes interrogées ont déclaré que la qualité de leur vie était meilleure qu’il y a 12 mois, ou les “gains”, tandis que 29% ont déclaré qu’elle s’était aggravée, ou le ” perdants. » Quarante et un pour cent ont déclaré que la qualité de leur vie était restée la même.

Cela s’est traduit par un score de gain net de “juste”, zéro, une légère amélioration par rapport au -2 enregistré en juin et avril. Bien qu’il soit encore 18 points en dessous du niveau prépandémique de “très élevé” +18 en décembre 2019.

La dernière enquête, qui a interrogé 1 500 adultes dans tout le pays et avait des marges d’erreur de plus ou moins 2,5 % pour les pourcentages nationaux, plus ou moins 5,7 % pour la région métropolitaine de Manille, les Visayas et Mindanao, et plus ou moins 4 % pour Balance Luçon.

Le score des gagnants nets est resté «élevé» dans la région métropolitaine de Manille à +9 en octobre et à +6 en juin. Il était également «élevé» à Luzon en dehors de Manille à +8 contre +5 au trimestre précédent alors qu’il restait «médiocre» bien qu’en hausse de quatre points de -17 à -13 aux Visayas. À Mindanao, il a chuté de quatre points, passant de “correct” -7 à “médiocre” -11.

Faim involontaire

Parmi les diplômés du collégial, le score des gagnants nets est passé de “élevé” +2 à “excellent” +20, en hausse de 18 points par rapport à juin, tandis qu’il est resté “élevé” chez les diplômés du premier cycle du secondaire, en hausse de deux points, passant de +3 à +5. Il est passé de « passable » -7 à « médiocre » -12 chez les diplômés du primaire, tandis que chez les non diplômés, il est passé de « médiocre » -12 à « passable » -8.

SWS a également constaté que la faim involontaire est significativement plus élevée chez les perdants, à 15,7 %, que chez les gagnants à 9 %, et ceux dont la qualité de vie est restée inchangée à 9,8 %.

Parmi les pauvres auto-évalués, le score des gagnants nets a augmenté entre juin et octobre, passant de “médiocre” -11 à “passable” -9. Il est resté « passable » parmi les pauvres limites mais est passé de +8 à +6 alors qu’il est passé de « élevé » +6 à « très élevé » +14 parmi les non pauvres.

—NATHALIE GRACE ADALID, CHERCHEUR RECHERCHE

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