Le panier de Noël a grimpé de 50 % depuis 2015, avec des palourdes (+159 %) et des daurades (+110 %) à des niveaux records.

Le panier de Noël a grimpé de 50 % depuis 2015, avec des palourdes (+159 %) et des daurades (+110 %) à des niveaux records.

2023-12-24 14:53:59

L’arrivée du Noël Il est toujours accompagné de déjeuners et de dîners traditionnels et, dans de nombreux cas, copieux, dans lesquels on retrouve en abondance des produits peu consommés à d’autres moments de l’année, comme les fruits de mer ainsi que certaines viandes et poissons. Et comme là où la demande augmente, le prix augmente, c’est aussi une tradition selon laquelle ce type d’aliment devient plus cher à cette période de l’année.

Cette année, dans un environnement économique également nettement inflationniste, la hausse moyenne des prix de ces aliments est d’environ 10% par rapport à ce qu’ils avaient en novembre, selon le Observatoire OCU des prix des denrées alimentaires de Noël. Comme les années précédentes, l’organisation souligne que les augmentations les plus importantes se concentrent sur les fruits de mer et le poisson et sont plus modérées sur les viandes, tandis que les fruits et légumes sont les seuls à diminuer ou modérer leur prix.

Depuis 2015, l’Organisation des Consommateurs et des Utilisateurs suit l’évolution des prix d’une série d’aliments typiques de Noël qui sont actuellement très demandés. Il le fait dans les marchés municipaux, supermarchés et hypermarchés d’Albacete, Barcelone, Bilbao, Madrid, Málaga, Murcie, Séville, Valence, Valladolid et Saragosse. L’organisation collecte le prix de 16 produits, l’agneau de lait à rôtir en quartiers, la ronde de veau, la pularda, la dinde, le jambon ibérique coupé, le chou rouge, l’ananas, la grenade, la dorade, la mer. aquaculture de bar, merlu coupé, anguilles, crevettes cuites, balanes de Galice, palourdes et huîtres.

Fortes montées

Selon les résultats de la troisième vague de l’étude, douze de ces produits ont augmenté leur prix en décembre par rapport au mois dernier, contre seulement quatre qui l’ont baissé. Les balanes C’est le produit qui a le plus augmenté. Ils l’ont fait d’une manière vertigineuse, un 68,8%suivi du palourdes (36,9%), merlu (29,7%) et huîtres (11,6%).

Avec des augmentations plus modérées, inférieures à 10 %, elles ont été daurade (8,6%) et bar (7,6%)suivi des viandes, où le l’agneau a connu la plus forte augmentation cette année (6,8 %) suivi du pularda (4%), ronde de veau (1,7%), jambon ibérique (1,3%), dinde (1,0%) et la grenade, qui a pratiquement maintenu son prix par rapport à novembre (0,3%).

De l’autre côté de l’échelle, seuls quatre produits du panier de Noël ont baissé leur prix par rapport au mois dernier, à commencer par anguilles (-1,7%), bien qu’il s’agisse d’une diminution insignifiante en raison de son prix très élevé, comme l’a précisé l’OCU. Les civelles ont été suivies par crevettes (-4,5%) et fruits et légumes, ananas (-5,5%) et enfin, le Lombardie (-6,1%)qui est le produit dont le prix a le plus baissé en décembre.

La hausse est plus prononcée qu’avant le long week-end de décembre

Cet organisme souligne dans son observatoire que la hausse de ces derniers jours, avec une hausse des prix du 4,9%, soit un peu plus prononcé qu’avant le long week-end de décembre.. Encore une fois, explique-t-il, “le schéma des autres années s’est répété, avec de fortes augmentations concentrées dans les fruits de mer et le poisson et des variations plus modérées dans les viandes, les fruits et les légumes”.

L’OCU souligne également que, par rapport aux niveaux de prix enregistrés l’année dernière, les prix ont augmenté de 1,2%. Il s’agit, ajoute-t-il, d’une augmentation plus modérée que celle subie les années précédentes. Cependant, cette organisation de consommateurs dénonce que les consommateurs soient une fois de plus confrontés l’un des Noëls les plus chers depuis 2015, où six des seize produits du panier (rondelle de bœuf, agneau, pularda, dinde, grenade et palourdes) atteignent des sommets sans précédent. En effet, le panier de Noël est désormais 47% plus cher qu’en 2015. Sur ces 9 années, les plus fortes hausses sont celles des palourdes (+159%) et des daurades (110%). Depuis, seules les crevettes ont baissé (-2%), et le jambon a maintenu un prix plus ou moins stable (+3%).

Avec ces données, OCU réitère son recommandations pour les consommateurs qui souhaitent éviter les augmentations typiques de Noël et du Nouvel An. “Il est conseillé d’anticiper les achats (notamment les fruits de mer et le poisson) ou de remplacer les produits les plus chers par d’autres alternatives moins chères, qui, bien que moins demandées, peuvent être tout aussi intéressantes du point de vue nutritionnel”, précise l’organisation. .



#panier #Noël #grimpé #depuis #avec #des #palourdes #des #daurades #des #niveaux #records
1703468778

Facebook
Twitter
LinkedIn
Pinterest

Leave a Comment

This site uses Akismet to reduce spam. Learn how your comment data is processed.