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Le Filmfonds Vienna donne son feu vert à de nouveaux projets de cinéma et de télévision

by Nouvelles

Lors de la quatrième réunion en 2024, le jury composé de Christine Dollhofer, Elisabeth Gabriel, Peter Jäger, Katrin Renz et Manfred Schmidt a décerné le prix. six productions de films de cinéma et deux développements de projets Engagements – fonds s’élevant à 1,9 millions d’euros ont été attribués. 17 projets ont été déposés pour un montant de 3,4 millions d’euros.

Dix projets télévisuels d’un montant total de 382 000 euros ont été soumis pour la troisième date limite de candidature TV en 2024, cinq projets reçu des engagements du Vienna Film Fund à hauteur de 248 000 euros.

Six productions bénéficieront d’un financement totalisant 1 825 400 euros.

Avec QUO VADIS, AÏDA ? – LA PIÈCE MANQUANTE L’auteur et réalisatrice Jasmila Žbanić continue l’histoire de son film de 2020 « Quo Vadis, Aida ? » : Six mois après le génocide de Srebrenica et après la signature de l’accord de paix, les femmes ne savent toujours pas où sont leurs fils. Aida reçoit des informations selon lesquelles son mari et ses fils sont en vie. L’espoir s’éveille en elle et elle commence le combat pour la vérité que tout le monde veut cacher. La coproduction européenne entre la Bosnie-Herzégovine, l’Allemagne, la France, l’Autriche, la Pologne et la Grande-Bretagne est réalisée ici par Nikolaus Geyrhalter Filmproduktion.

Après leur aventure cinématographique à succès « Pulled Pork », le réalisateur Andreas Schmied envoie les improbables frères Flo et Eddi au second tour. Cette fois, le couple et leur sœur, soupçonnée d’avoir disparu, doivent résoudre un mystère profondément ancré dans l’histoire autrichienne et les entraînent dans une confrontation directe avec un groupe néo-nazi. Dans les rôles principaux de NÉPÉPITES On retrouve Paul Pizzera et Otto Jaus ; Schmied a écrit le scénario avec Wolfgang Brandstetter, producteur de Samsara Film.

La production cinématographique d’Ulrich Seidl sera le premier long métrage AVANT, ARRIÈRE, LATÉRAL, STOP de l’auteur et réalisatrice Lisa Weber (« Maintenant ou demain ») : La vie de la manucure et pédicure Nadine devrait en fait être agréable, après tout, avec son appartement, son mari, son chien et son travail, toutes ses coordonnées de vie devraient s’emboîter. Néanmoins, Nadine commence à se demander si la vie a plus à lui offrir.

CALME parle de Leila, qui a fui la Syrie et tente de trouver un nouveau foyer à Vienne. Le premier long métrage de la documentariste Sara Fattahi raconte la survie et la recherche d’identité et de foyer lorsque les seuls biens sont des souvenirs. La coproduction austro-française est réalisée par la société viennoise FreibeuterFilm et la société parisienne Les Films de l’Altaï.

Dans son documentaire QUI S’EN SOUCIE sur le thème des soins La réalisatrice Ina Ivanceanu se lance dans un voyage cinématographique à travers le monde. Elle est accompagnée de la féministe Silvia Federici, qui s’occupe elle-même de son partenaire et qui a été co-initiatrice de la campagne pionnière « Des salaires pour les travaux ménagers » dans les années 1970. La coproduction avec le Luxembourg, l’Allemagne et le Canada est réalisée du côté autrichien par Amour Fou Vienna.

Dans le documentaire produit par Mischief Films TEMPS CONGÉS Le réalisateur Dariusz Kowalski se consacre à l’île du Danube à Vienne. À l’aide de protagonistes sélectionnés, il dépeint l’île de 21 kilomètres de long au-delà des clichés romantiques comme une surface de projection d’une grande variété de désirs nés du besoin de liberté, de loisirs et de nature.

Deux développements de projets recevront un financement total de 81 000 euros.

Capra Film développe le projet de genre JE SUIS MORLAND le premier long métrage de l’auteur et réalisateur Michael Winiecki. Le projet, qui se déroule dans les années 1980, raconte l’histoire d’une jeune famille qui a fui la Pologne vers l’Autriche et qui travaille dans un domaine désolé. Mais le racisme et l’exploitation quotidienne ne sont pas les seuls problèmes auxquels la famille est confrontée : un secret vieux de plusieurs siècles sommeille dans la lande environnante, qui réclame son tribut de sang.

Quatre projets de documentaire et un projet de fiction télévisuelle bénéficieront d’un financement d’un montant total de 248 000 euros.

Dans MARIANNE, MA MÈRE ET MOI La jeune Marie quitte le Tyrol pour venir étudier à Vienne. Elle découvre ici sa passion pour l’Austropop et tombe amoureuse du jeune musicien et propriétaire de bar Paul. Lorsque les études négligées de la mère de Marie la mettent en scène, il s’avère qu’elle était elle-même une aspirante musicienne austropop à Vienne. La comédie dramatique télévisée est produite par e&a Film sous la direction de Hans Hofer sur la base d’un scénario d’Uli Brée.

Deux des projets télévisés documentaires financés sont respectivement consacrés à la musique classique et à la peinture dans un contexte historique contemporain. LE RÉSEAU D’ANTONIO SALIERI suit les traces du compositeur italo-autrichien éponyme et met en lumière son travail formateur pendant 35 ans en tant que chef d’orchestre de la cour, jusqu’au soupçon, à l’époque, d’avoir empoisonné Mozart. Le document ART CRIME KLIMT raconte l’histoire captivante du portrait du prince africain William Nortey Nii Dowuona par Gustav Klimt : lorsque le tableau, que l’on croyait perdu depuis près de 100 ans, réapparaît de manière inattendue dans une galerie viennoise fin 2023, une recherche criminelle d’indices à travers l’histoire de l’art commence.

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