La mesure du trafic dans les cabinets médicaux est basée sur des rapports de symptômes tels que la toux et les maux de gorge, et non sur des diagnostics confirmés en laboratoire. Cela peut donc inclure d’autres maladies respiratoires.
Cela rend difficile la comparaison avec les saisons grippales d’avant la pandémie de COVID-19. Les autres années n’ont pas non plus connu la vague inhabituellement forte de cette année de VRS, ou virus respiratoire syncytial, une cause fréquente de symptômes de type rhume qui peuvent être graves pour les nourrissons et les personnes âgées.
Pendant ce temps, 44 États ont signalé une activité grippale élevée ou très élevée la semaine dernière, ont annoncé vendredi les Centers for Disease Control and Prevention.
Cela n’augure rien de bon pour l’avenir proche. Il est probable qu’il y ait eu plus de propagation de virus respiratoires lors des rassemblements de Thanksgiving et dans les aéroports bondés, selon les experts.
La souche de grippe dominante jusqu’à présent est celle qui est généralement associée à des taux plus élevés d’hospitalisations et de décès, en particulier chez les personnes de 65 ans et plus.
Le CDC estime qu’il y a eu au moins 78 000 hospitalisations et 4 500 décès dus à la grippe jusqu’à présent cette saison. Les décès incluent au moins 14 enfants.
Les vaccins contre la grippe sont recommandés pour presque tous les Américains âgés d’au moins 6 mois ou plus.
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