BASE AÉRIENNE DE BARKSDALE, Louisiane (AFNS) —
B-2 Esprit la technologie consiste en plus que sa forme unique. Il existe des avancées logicielles et matérielles sous-jacentes qui permettent la fourniture de capacités nucléaires pénétrantes à longue portée et à faible observabilité dans le monde entier. Le système B-2 continue de s’améliorer et de se moderniser à mesure que les menaces internationales progressent.
Une nouvelle usine de logiciels utilisant la conception de référence du ministère de la Défense a poussé l’évolution de l’avion plus loin. Connu sous le nom de “Spirit Realm” par ses créateurs au B-2 Weapons Systems Support Center du Centre de gestion du cycle de vie de la Force aérienne et leurs partenaires de Northrop Grumman, le système a déjà apporté des améliorations spectaculaires qui ont profité à la flotte opérationnelle B-2.
L’équipe de maintenance et d’innovation du logiciel B-2 avec le bureau du programme du système B-2 à l’AFLCMC, responsable de la stratégie, du maintien et de l’amélioration innovante du développement logiciel et de l’intégration des capacités, prend en charge la livraison des exigences opérationnelles du B-2 Spirit. Le capitaine Joel Graley, responsable de l’équipe, a expliqué l’implication de son équipe dans le développement.
“Nous avons mis en place une infrastructure as-code où nos équipes de développement et de test peuvent travailler avec une efficacité et une sécurité maximales”, a déclaré Graley. “Grâce aux outils et à l’infrastructure de l’usine logicielle, des étapes automatisées prennent le code depuis le début du développement jusqu’aux tests et finalement à la publication.”
L’usine de logiciels Spirit Realm B-2 a quatre objectifs. Le premier consiste à réduire les risques et les délais des essais en vol grâce à des essais au sol haute fidélité. La seconde consiste à réduire la charge des tests en vol en capturant des points de test supplémentaires via des mises à niveau ciblées. Le troisième est d’augmenter la qualité des capacités fonctionnelles intégrées grâce à des tests automatisés à haute fréquence. Enfin et surtout, pour permettre des mises à niveau des capacités victorieuses du B-2 Spirit.
“En utilisant le ministère de la Défense conceptions de référence associé à un véritable matériel B-2, rendu possible par des changements de processus complets au sein du gouvernement, des sous-traitants et des équipes organiques, nous avons pu non seulement atteindre, mais dépasser nos quatre objectifs », a déclaré le colonel Cory Brown, responsable du programme du système B-2 chez AFLCMC.
Historiquement, le développement et le test du code avant le déploiement pouvaient prendre de 18 à 24 mois. Même un seul changement dans une ligne de code signifiait que tout le corps des lignes devait être retesté. Ce test manuel a verrouillé tout le contenu. S’il y avait des erreurs trouvées dans les tests, dont il y en avait beaucoup, elles reviendraient au développeur du logiciel pour la correction, puis seraient retestées. Toutes ces caractéristiques axées sur l’homme entraînaient une perte de temps, d’énergie et de ressources supplémentaires pour d’autres projets.
“Après le développement et la mise en œuvre de Spirit Realm, le logiciel B-2 est maintenant développé, testé et intégré à l’aide des principes modernes DevSecOps et Scaled Agile et d’une base logicielle unique”, a déclaré Graley. “Cette approche permet la mise en service des capacités les plus prioritaires à un rythme sans précédent et garantit que le B-2 peut rapidement mettre en service de nouvelles capacités pour contrer les menaces émergentes.”
Avec le développement de Spirit Realm par l’équipe de Graley au WSSC, cette nouvelle usine de logiciels a réduit les délais de mise à niveau des logiciels de deux ans à trois mois. Le nombre de défauts logiciels trouvés lors des tests de régression a chuté à presque zéro. Avec d’innombrables heures économisées sur la production, l’équipe du WSSC a évité plus de 18 millions de dollars en coûts annuels d’essais en vol.
Dans l’ensemble, Spirit Realm a produit plus de tests avec moins de défauts, ce qui se traduit par un codage de meilleure qualité, ce qui engendre de meilleurs logiciels. Ces facteurs de qualité supérieure se traduisent par une meilleure capacité opérationnelle globale pour la flotte B-2.
“L’essentiel est que Spirit Realm et les laboratoires B-2 se positionnent pour développer des logiciels plus rapidement, ce qui nous permet de déployer des capacités en quelques semaines plutôt qu’en plusieurs années”, a déclaré le lieutenant-colonel Benjamin Elton, chef de la branche B-2 IFC à l’AFLCMC. .
Il est essentiel que des équipes telles que celles-ci développent des innovations telles que le royaume des esprits, fournissant à l’armée de l’air des capacités continues de gagner la guerre à la vitesse de la pertinence.
« L’usine logicielle est applicable aujourd’hui car elle ajoute de la sécurité, de la répétabilité et de la qualité à notre développement logiciel, à l’intégration des capacités et au déploiement. Cela a des impacts sur le combattant maintenant », a déclaré Graley. « Dans un avenir proche, l’usine de logiciels, combinée à d’autres efforts de modernisation d’avions, permettra de déployer des mises à jour logicielles pour les missions opérationnelles de vol des B-2 partout dans le monde. Cela changera la donne dans le prochain combat.
Depuis le premier vol du B-2 Spirit le 17 juillet 1989, le bombardier a continué de représenter des étapes importantes dans le programme américain de modernisation des bombardiers. Avec de nouveaux impacts opérationnels livrés au combattant chaque jour, la flotte B-2 devrait rester pertinente pour les années à venir.
“Nous sommes en mesure d’apporter des capacités au combattant plus rapidement que jamais”, a déclaré le colonel Brown. “L’usine de logiciels Spirit Realm B-2 s’aligne sur les changements de stratégie de sécurité nationale en alliance avec le dicton du chef d’état-major de l’armée de l’air (CQ) Brown et secrétaire de l’armée de l’air Franck Kendallc’est impératifs opérationnels au niveau stratégique. Nous trouvons toujours des moyens de poser des questions difficiles, de faire des choses difficiles et de garantir globalement que l’Amérique reste le phare de l’espoir et de la liberté pour le monde.
