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La justice ordonne l’expulsion de Belo et Gracyanne ; le couple doit plus de 260 000 R$ aux journaux télévisés

La justice ordonne l’expulsion de Belo et Gracyanne ;  le couple doit plus de 260 000 R$ aux journaux télévisés

Le TJSP (Cour de justice de São Paulo) a ordonné l’expulsion de Belo et Gracyanne Barbosa d’une maison située à Moema, un quartier huppé de la capitale de São Paulo. Les deux ont été prévenus parce qu’ils doivent plus de 260 000 BRL, car ils auraient cessé de payer le loyer mensuel de 14 300 BRL depuis octobre 2018.

Dans le document auquel le chaîne infos avait accès, il est possible de voir que le loyer de la maison a été fermé au nom de Central de Shows e Evento Ltda., qui serait la responsabilité du chanteur. L’artiste le nie, déclarant qu’il n’est pas lié à la structure d’entreprise de l’entreprise.

Le contrat a été conclu en novembre 2017. Avec une valeur IPTU de 1 700 BRL, le loyer a atteint 16 000 BRL. En raison de la rupture de contrat, Belo et sa femme devront payer les valeurs du bail, de l’IPTU et des factures de consommation qui sont également en retard, atteignant un montant de 221 159,86 R$.

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Outre cette somme considérable, il reste une amende de résiliation contractuelle de 46 139,85 R$. De ce montant, 42,9 mille R$ doivent être déduits au titre du dépôt de garantie qui avait été versé par le couple au moment de la conclusion du contrat. Pour couronner le tout, les deux hommes ont également été condamnés à payer 38 667,09 BRL pour dommages matériels. L’affaire a été anticipée ce jeudi (28) par la chroniqueuse Fábia Oliveira, d’Em Off.

Autre côté

Dans une note envoyée au rapport, l’avocat du musicien, Marcelo Passos, a déclaré que l’ordre d’expulsion n’est pas valide et a déclaré que Gracyanne et Belo n’ont pas signé de bail et ne sont pas cités dans le procès. L’information, cependant, est différente de celle présentée dans le document TJSP.

“A ladite entreprise [Central de Shows e Evento Ltda.] n’inclut pas le chanteur en tant que partenaire ou administrateur, contrairement à ce qui est dit à tort. Il appartient en réalité à un ancien manager du musicien, avec qui il n’entretient plus de relations professionnelles, comme le sait le marché national du divertissement en 2018”, précise Passos.

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“Cet ancien entrepreneur a cédé le bien par courtoisie à Belo, au moment des faits, en contrepartie de la relation d’agence entre les deux. Mais c’était au titulaire du contrat d’assumer les dépenses, pas à Belo. Cette répartition des responsabilités faisait, , partie de l’accord professionnel existant entre les deux”, ajoute l’avocat dans un autre passage.

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