D’un autre côté, ces universités dépendent des frais de scolarité, ce qui a des conséquences négatives sur la sécurité de la planification. Dans les universités canadiennes, les restrictions sur les admissions annuelles des étudiants étrangers entraînent actuellement de graves problèmes financiers.
Seulement aucune éducation n’est encore plus chère
En Suisse, les choses ne devraient pas en arriver là. Des jeunes hautement qualifiés, quelle que soit leur origine, ont été et restent un pilier central de la force d’innovation de la Suisse et, en fin de compte, de sa prospérité. Un autre aspect est le financement stable et adéquat de l’enseignement supérieur par le secteur public. Selon nous, un système universitaire dans lequel ces exigences ne devraient plus s’appliquer est en contradiction avec les valeurs de la Suisse. Ce n’est pas bon marché, mais ça vaut le prix. Le grand Abraham Lincoln l’a très bien dit : « Si vous pensez que l’éducation coûte cher, essayez l’ignorance. »
En tant que société, nous devrions donc discuter en profondeur des tâches que les universités et les instituts de recherche fédéraux doivent remplir pour servir au mieux la Suisse. Sur cette base, il convient de déterminer les conditions-cadres, y compris financières, dont les universités ont besoin pour remplir leur mission. Ayons ce dialogue maintenant !
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