Un ancien homme politique, ayant perdu trois fils à cause de maladies incurables, met en garde contre la législation écossaise sur l’aide à mourir, la qualifiant de « recette pour encourager le suicide ».
Il a critiqué le débat crucial sur la législation écossaise sur l’aide à mourir pour son « manque de logique », alors que les principes généraux du projet de loi ont été adoptés plus tôt cette semaine. Il a affirmé qu’une longue liste d’assertions n’avait pas été contestée par les membres du Parlement écossais (MSP) et les a accusés d’un « manque de logique et de philosophie morale » dans les arguments en faveur de la législation.
Selon le projet de loi, qui devrait faire l’objet d’un deuxième examen après la pause estivale, les personnes atteintes d’« une maladie, affection ou condition avancée et progressive » dont elles ne peuvent se rétablir et qui devrait causer leur mort prématurée, peuvent demander à un médecin de leur fournir un médicament mortel pour les aider à mettre fin à leur vie.
Un membre du Parlement écossais (MSP) a déclaré que les gens devraient avoir le « droit de choisir » de mettre fin à leur vie.
Cependant, l’ancien homme politique a déclaré :
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> « Aucun individu n’a le droit de choisir une ligne de conduite qui pourrait avoir des conséquences désastreuses pour d’autres individus, par exemple, des personnes vulnérables contraintes de se suicider. »
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Il a ajouté :
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> « Les législateurs ont le devoir de considérer les conséquences de la législation non seulement sur des cas individuels difficiles, mais sur la société dans son ensemble. »
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Il a critiqué les affirmations selon lesquelles seuls les riches peuvent actuellement mettre fin à leur vie en se rendant dans des cliniques à l’étranger, affirmant que cela ne rend pas la chose « moralement acceptable ».
Il a condamné le concept de droit de mourir comme « une recette pour encourager le suicide », demandant : « Quel genre de message confus le Parlement écossais va-t-il envoyer aux jeunes en disant que certains suicides sont en quelque sorte acceptables ? »
Dans un discours récent, il a déclaré que « les questions de vie et de mort sont sans doute les questions les plus importantes à débattre dans tout parlement », et que ses propres opinions sur la question « sont basées en partie sur ma propre expérience personnelle et celle de ma famille ».
Il a salué les soins palliatifs de « première classe » fournis par un établissement spécialisé.
Dans son discours, il a ajouté :
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> « Mes enfants ont sans aucun doute subi des douleurs, mais elles ont été minimisées par des professionnels de la santé dévoués qui ont fait tout ce qui était en leur pouvoir pour rendre leurs derniers jours aussi confortables que possible. »
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Il a également déclaré :
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> « En conséquence, mes enfants sont morts dans la dignité et je me permets de ne pas être d’accord avec ceux qui affirment que l’option du suicide assisté est nécessaire pour assurer la dignité dans la mort. Les partisans du suicide assisté semblent avoir détourné le mot “dignité” dans une tentative de justifier leur cause, mais je ne vois rien de digne dans le fait qu’un médecin ou une infirmière, après avoir passé de nombreuses années à se former pour sauver des vies, donne ensuite aux patients une substance mortelle pour détruire des vies. »
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Lors du vote de la première étape, les membres du Parlement écossais (MSP) ont soutenu les principes généraux de la législation par 70 voix contre 56.
Les membres du Parlement écossais (MSP) vont maintenant examiner une longue liste d’amendements au projet de loi avant un vote final en troisième étape pour déterminer s’il devient loi.
Dans un plaidoyer adressé aux membres du Parlement écossais (MSP), l’ancien homme politique a déclaré : « Il suffit que huit membres du Parlement écossais (MSP) qui ont voté pour le projet de loi à la première étape y réfléchissent à nouveau avant le vote à l’étape finale. »
Dans son discours aux membres du Parlement écossais (MSP) sur la législation, un membre du Parlement écossais (MSP) a déclaré :
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> « Je sais combien ce projet de loi est critically important pour ces Écossais mourants et leurs familles qui sont désespérés de voir la loi changer pour permettre plus de choix, de compassion et de dignité en fin de vie. »
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L’ancien homme politique met en garde contre le projet de loi écossais sur l’aide à mourir
Un ancien homme politique, ayant perdu trois fils, s’oppose fermement à la législation écossaise sur l’aide à mourir, la qualifiant de dangereuse. Il critique le processus législatif et le manque de considération des conséquences sociales.Voici les points clés :
Opposition à la législation: L’ancien homme politique considère la loi comme une « recette pour encourager le suicide.»
motivations personnelles: Ses expériences de perte d’enfants influencent son opposition.
doutes sur la logique: Il critique le débat sur la législation pour son manque de cohérence.
Préoccupations éthiques: il craint que la loi n’affecte les personnes vulnérables.
* Soutien aux soins palliatifs: Il valorise les soins palliatifs de qualité.
FAQ : Aide à mourir en Écosse
Q : Quelle est la nature du projet de loi écossais sur l’aide à mourir ?
R : Il permettrait à des personnes atteintes de maladies incurables et en phase terminale de demander l’aide d’un médecin pour mettre fin à leur vie.
Q : Pourquoi l’ancien homme politique s’oppose-t-il à la législation ?
R : Il craint que la loi n’encourage le suicide et nuise aux personnes vulnérables.Il argumente également que la loi envoie un message ambigu aux jeunes concernant le suicide.
Q : Quelle est l’argument principal des partisans de la loi ?
R : Les partisans affirment que la loi permettrait plus de choix, de compassion et de dignité en fin de vie.
Q : Que propose l’ancien homme politique comme alternative ?
R : Il soutient les soins palliatifs et l’importance de la dignité dans les soins prodigués par les professionnels de la santé.
Q : Où en est le projet de loi ?
R : Les principes généraux ont été adoptés, et des amendements sont en cours d’examen avant un vote final.
Résumé des positions sur l’aide à mourir
| Aspect | Position de l’ancien homme politique | Position des partisans de la législation |
| ———————- | ——————————————– | —————————————– |
| approche | opposition ferme | Soutien à la dignité et au choix |
| Préoccupations | Risque accru de suicide; impact sur les vulnérables | Souffrance des patients incurables |
| Valeurs importantes | dignité, soins palliatifs | Autonomie, compassion |
| Avis sur les MSP | Le manque de logique et de philosophie morale | La législation est importante pour les Écossais, les familles |