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Erri De Luca : Accidents du travail = condamnations à mort

by Nouvelles

Le déclarations du chef de l’État sont arrivées à la veille du Premier mai. « La question des décès au travail est un fléau qui a déjà coûté la vie, au cours de ces premiers mois, à des centaines de personnes, laissant autant de familles désespérées. » Il est évident que l’engagement en faveur de la sécurité au travail doit être renforcé. Cela concerne les institutions, les entreprises, les travailleurs.

Selon l’Institut d’assurance contre les accidents du travail, entre janvier et février 2025, le nombre de victimes au travail est en augmentation par rapport à la même période de l’année dernière : 138 contre 119 (+16 %). « 650 millions supplémentaires pour la sécurité au travail » a annoncé le Premier ministre dans un message vidéo.

« Je rejette la définition d’accidents. Les conditions d’usure physique en l’absence de pauses pendant la durée d’un service entraînent une condamnation à mort continue. »

Le drame de mourir dans le secteur du bâtiment est une question de rythme de travail.Plus on descend dans la sous-traitance,plus la marge de profit se réduit,ce qui entraîne une accélération des délais de travail. L’exploitation intensive de la main-d’œuvre entraîne une usure de l’attention ainsi qu’une fatigue physique. L’ouvrier est aujourd’hui seul, isolé sur le lieu de travail, et il est soumis au chantage : c’est ça ou rien.

« Je rejette la définition d’accidents. Les conditions d’usure physique en l’absence de pauses pendant la durée d’un

Décès au Travail : Un Fléau à Combattre

Introduction

Le texte met en lumière la tragédie des décès au travail, soulignant la nécessité d’un renforcement de la sécurité. Le chef de l’État a qualifié les décès au travail de “fléau”, indiquant que “des centaines de personnes” ont déjà perdu la vie au cours des premiers mois de l’année, laissant des familles dans le désespoir.

Augmentation des victimes

Selon l’Institut d’assurance contre les accidents du travail, on observe une augmentation du nombre de victimes au travail entre janvier et février 2025, avec 138 victimes contre 119 l’année précédente, soit une hausse de 16%.

Engagement gouvernemental

Le Premier ministre a annoncé une enveloppe de “650 millions supplémentaires pour la sécurité au travail” afin de lutter contre ce problème.

Facteurs contributifs et conditions de travail

Le texte met en avant les conditions de travail comme cause des décès, notamment dans le secteur du bâtiment. L’absence de pauses et l’usure physique sont dénoncées comme une “condamnation à mort continue”. Le rythme de travail est également pointé du doigt, avec une dégradation notamment due à la sous-traitance qui entraine l’accélération des délais, l’exploitation intensive de la main-d’œuvre. L’ouvrier se retrouve isolé, victime de chantage.

Tableau Récapitulatif

| Aspect | Détails |

| :—————————————- | :——————————————————————————————- |

| Décès au travail | Qualifié de “fléau” par le chef de l’État. |

| Période concernée | Premiers mois de 2025.|

| Augmentation des victimes | 138 victimes entre janvier et février 2025, contre 119 l’année précédente (+16%). |

| Engagement gouvernemental | 650 millions d’euros supplémentaires pour la sécurité au travail. |

| facteurs contributifs | Absence de pauses, usure physique, rythme de travail, sous-traitance, exploitation de la main-d’œuvre.|

| Conséquences | Isolement des travailleurs,chantage. |

FAQ

Q : Quelle est la réaction du gouvernement face aux décès au travail ?

R : Le gouvernement a mis en avant son engagement en faveur de la sécurité au travail. Le Premier ministre a annoncé 650 millions d’euros supplémentaires pour la sécurité au travail.

Q : Comment évolue le nombre de victimes au travail en 2025 ?

R : Le nombre de victimes au travail est en augmentation entre janvier et février 2025, avec 138 victimes contre 119 l’année précédente (+16%).

Q : Quels sont les principaux facteurs contribuant aux décès au travail, selon le texte ?

R : Absence de pauses, usure physique, rythme de travail élevé, sous-traitance et exploitation de la main-d’œuvre.

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