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Collor : Moraes ordonne l’arrestation après rejet des recours

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Le 24 avril, un ministre du Tribunal suprême fédéral a ordonné l’arrestation d’un ancien président de la République et sénateur.

Cette décision fait suite au rejet unanime par la deuxième chambre du STF des recours déposés par la défense de l’ancien sénateur contre sa condamnation pour corruption passive et blanchiment d’argent.

La décision a entraîné l’exécution d’une peine de huit ans et dix mois de prison, en régime fermé, prononcée en mai 2023.

L’ancien président a été condamné pour sa participation à un système de corruption lié à BR Distribuidora,filiale de Petrobras,entre 2010 et 2014.

Selon l’accusation présentée par le bureau du procureur général, il a reçu 29,9 millions de R$ en pots-de-vin par le biais de contrats frauduleux avec des sociétés fournissant la société publique.

L’accusation a fait valoir que ces sommes ont été versées en échange d’une influence politique pour la nomination de directeurs et de faveurs dans les contrats de l’entreprise.

La condamnation était basée sur des accords de plaidoyer négociés par des personnes faisant l’objet d’une enquête dans le cadre de l’opération Lava Jato, ainsi que sur des documents et des registres financiers.

Parmi les preuves recueillies, figurent des virements bancaires vers des comptes contrôlés par l’ancien président et l’acquisition de biens de grande valeur, tels que des véhicules de luxe, considérés comme incompatibles avec les revenus officiellement déclarés.

L’acte d’accusation a été déposé en 2015, dans le cadre des enquêtes de Lava jato. Le procès a été jugé en mai 2023 par la deuxième chambre du STF. Tous ont voté en faveur de la condamnation.

La défense a présenté une série de recours, y compris les recours rejetés ce mois-ci, épuisant ainsi les possibilités d’annulation de la sentence au sein du panel.

Suite au rejet du recours, le ministre, en tant que président de la deuxième chambre, a émis le mandat d’arrêt. L’arrestation a eu lieu le jour même, sans divulgation officielle du lieu d’exécution de la peine ou d’un éventuel transfert.

Il est possible que l’ancien président soit maintenu dans une cellule spéciale, comme le prévoient les cas impliquant d’anciens présidents.

Durant la procédure, le STF a autorisé le blocage des avoirs de l’ancien président, y compris les biens immobiliers et les véhicules. Cette mesure vise à garantir le remboursement des sommes détournées, en cas de condamnation définitive par les instances supérieures.

Arrestation d’un Ancien Président Brésilien : Décryptage des Faits

Le 24 avril, un ministre du Tribunal Suprême Fédéral (STF) a ordonné l’arrestation d’un ancien président de la République et sénateur. Cette décision fait suite au rejet des recours déposés par la défense contre sa condamnation pour corruption passive et blanchiment d’argent.

Contexte de la Condamnation

L’ancien président a été condamné pour son implication dans un système de corruption lié à BR Distribuidora, une filiale de Petrobras, entre 2010 et 2014. L’accusation a révélé qu’il avait reçu 29,9 millions de R$ en pots-de-vin via des contrats frauduleux avec des entreprises fournissant la société publique. Ces sommes étaient en échange d’influence politique pour la nomination de directeurs et des faveurs dans les contrats.

Le Processus Judiciaire

La condamnation, prononcée en mai 2023, était basée sur des accords de plaidoyer négociés dans le cadre de l’opération Lava Jato, ainsi que sur des documents financiers. Les preuves incluent des virements bancaires vers des comptes contrôlés par l’ancien président et l’acquisition de biens de luxe. L’acte d’accusation a été déposé en 2015 et le procès a été jugé par la deuxième chambre du STF. La condamnation initiale était de huit ans et dix mois de prison, en régime fermé.

Conséquences immédiates et Mesures Conservatoires

L’arrestation a été effectuée le jour même de l’ordonnance, mais le lieu de détention n’a pas été divulgué. Il est envisagé que l’ancien président soit maintenu dans une cellule spéciale. Le STF a autorisé le blocage des avoirs de l’ancien président, y compris les biens immobiliers et les véhicules, afin de garantir le remboursement des sommes détournées.

Tableau Récapitulatif

| Événement | Détails |

| ———————————————- | ————————————————————————————————————————————- |

| Date de l’arrestation | 24 avril |

| Raison de l’arrestation | condamnation pour corruption passive et blanchiment d’argent |

| Condamnation initiale | Huit ans et dix mois de prison, régime fermé (prononcée en mai 2023) |

| Implication dans la Corruption | Liée à BR Distribuidora (filiale de Petrobras) entre 2010 et 2014 |

| montant des pots-de-vin | 29,9 millions de R$ |

| Preuves | Virements bancaires, acquisition de biens de luxe, accords de plaidoyer dans le cadre de l’opération Lava Jato, documents financiers. |

| Mesures conservatoires | Blocage des avoirs – biens immobiliers et véhicules |

FAQ

Q: Pourquoi l’ancien président a-t-il été arrêté ?

R: Il a été arrêté suite au rejet de ses recours et à sa condamnation pour corruption et blanchiment d’argent.

Q: Quelle était la durée de sa peine ?

R: Huit ans et dix mois de prison.

Q: Quelle était l’implication de l’ancien président ?

R: Il a été impliqué dans un système de corruption lié à BR Distribuidora, filiale de Petrobras.

Q: quelles sont les mesures prises concernant ses biens ?

R: Le STF a autorisé le blocage de ses avoirs, y compris les biens immobiliers et les véhicules.

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