Au-delà de ces problèmes, Doel 3 était en fait un réacteur très performant. Après les troubles concrets, il n’y a plus eu de problèmes significatifs. “Depuis l’échange de combustible nucléaire et l’entretien majeur de l’année dernière, nous avons fonctionné en continu 365 jours d’affilée”, explique Moens. “Très peu de centrales électriques dans le monde font cela.”
“C’est une usine très performante, grâce aux gens qui l’ont dirigée”, ajoute le directeur. C’est clairement le cœur gros qu’il dit au revoir à Doel 3. “C’est un moment très spécial et qui sera accompagné de beaucoup d’émotion”, dit-il. “J’étais aussi ingénieur de test ici avant de devenir directeur. Ce sera un moment difficile plus tard.”