Des affrontements ont lieu à la frontière du Cachemire.
Les autorités ont arrêté des centaines de personnes et démoli des habitations de présumés terroristes suite à l’attaque de Pahalgam. L’Inde accuse directement le Pakistan.
Les forces de sécurité recherchent les « terroristes » et leurs « sympathisants » dans la région du Cachemire. Cette opération de sécurité vise à éviter de nouveaux attentats.
Plusieurs maisons de présumés terroristes ont été démolies. Les autorités avertissent que des mesures similaires seront prises contre toute personne impliquée dans des activités terroristes.Des logements ont été détruits dans les districts d’Anantnag et de Pulwama.Les forces de sécurité avaient inspecté ces propriétés.
Un autre domicile lié à l’attaque de Pahalgam a été démoli dans le district de Shopian.
La maison d’un autre suspect a été démolie dans le district de Kulgam.
Des attaques ont été signalées à la frontière.
Les autorités indiennes ont dénoncé des attaques des forces pakistanaises sur la ligne de Contrôle.
Un porte-parole du ministère de la Défense indien a déclaré : « Dans la nuit du 25 au 26 avril, il y a eu des tirs non provoqués avec des armes légères depuis plusieurs postes de l’Armée du Pakistan sur la Ligne de Contrôle, au Cachemire. »
Le front de Résistance (TRF) a publié un communiqué démentant toute implication dans l’attentat. Le TRF accuse les services de renseignement indiens.
Le TRF a publié sur X : « Toute attribution de cet acte au TRF est fausse, précipitée et partie d’une campagne orquestrée pour diffamer la résistance cachemir. Peu après l’attaque, un message non autorisé a été publié depuis une de nos plateformes digitales, mais après une inquiry interne nous avons des motifs pour croire que cela a été conséquence d’une intrusion informatique, une tactique habituelle dans l’arsenal de la guerre digitale de l’État indien. »
Le ministre principal de Jammu-et-Cachemire, Omar Abdullah, a rejeté la proposition d’une « enquête neutre » du Premier ministre pakistanais, Shehbaz Sharif. Il a déclaré à la presse : « ¿Qué investigación haría esta gente? ¿Un ladrón puede investigar su propio robo? »
Il a ajouté : « El primer ministro de Pakistán dice esto por miedo.Este miedo es bueno. Debería de tener miedo. Cuando Pakistán no esté preparado será cuando les golpearemos y vamos a golpearlos con dureza. »
Les autorités indiennes accusent le Pakistan de soutenir des groupes armés au Cachemire. Cette région est en conflit entre les deux pays depuis 1947. L’attaque a entraîné une crise avec la suspension de vols,la fermeture de frontières et l’annulation d’un accord sur les eaux.
Conflit au Cachemire : Escalade des tensions et accusations
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Résumé des événements
Des affrontements ont lieu à la frontière du Cachemire. Suite à une attaque à Pahalgam, les autorités indiennes ont arrêté des centaines de personnes et démoli des habitations de présumés terroristes. L’Inde accuse directement le Pakistan d’être impliqué dans cette attaque. Les forces de sécurité recherchent les “terroristes” et leurs “sympathisants” dans la région.
Actions des autorités et réaction
Démolition d’habitations : Plusieurs maisons de présumés terroristes ont été démolies dans les districts d’Anantnag, Pulwama, Shopian et Kulgam. Les autorités avertissent que des mesures similaires seront prises contre toute personne impliquée dans des activités terroristes.
Accusations contre le Pakistan : L’Inde accuse le Pakistan de soutenir des groupes armés au Cachemire.
Affrontements frontaliers : Des attaques ont été signalées à la frontière. Un porte-parole du ministère de la Défense indien a déclaré que des tirs non provoqués avec des armes légères provenaient de plusieurs postes de l’armée pakistanaise sur la Ligne de contrôle (LoC).
Réaction du Front de Résistance (TRF) : Le TRF a démenti toute implication dans l’attentat, accusant les services de renseignement indiens et évoquant une possible intrusion informatique.
Rejet d’une enquête neutre : Le ministre principal de Jammu-et-Cachemire,Omar Abdullah,a rejeté la proposition d’une enquête neutre du Premier ministre pakistanais,Shehbaz Sharif.
Conséquences de l’attaque
L’attaque a entraîné une crise avec :
Suspension de vols.
Fermeture de frontières.
annulation d’un accord sur les eaux.
Tableau récapitulatif : Éléments clés du conflit
| Événement | Action/Réaction | Acteur(s) Impliqué(s) |
| :—————————————- | :————————————————————————————————————————————————————————————————————- | :—————————————————– |
| Attentat à Pahalgam | Arrestations, démolition d’habitations, accusations contre le Pakistan, recherche de terroristes et sympathisants. | Autorités indiennes |
| Accusations envers le Pakistan | Soutien présumé à des groupes armés au Cachemire. | Inde |
| Tirs à la frontière | Tirs non provoqués depuis des postes de l’armée pakistanaise sur la LoC. | Armée pakistanaise, Armée indienne |
| Revendication/Démenti du TRF | Démenti de toute implication, accusations contre les services de renseignement indiens, possible intrusion informatique. | Front de Résistance (TRF) |
| Réaction d’Omar Abdullah | Rejet d’une enquête neutre proposée par le Pakistan.| Omar Abdullah (Ministre principal de Jammu-et-Cachemire) |
| Conséquences de l’attaque | Suspension de vols, fermeture de frontières, annulation d’un accord sur les eaux. | |
FAQ sur le conflit au Cachemire
Qu’est-ce qui a déclenché les récentes tensions ? Une attaque à Pahalgam.
Qui est accusé par l’Inde ? Le Pakistan.
Quelle est la réaction du TRF ? Le TRF dément toute implication et accuse les services de renseignement indiens.
Quelles sont les conséquences de l’attaque ? Suspension de vols, fermeture de frontières, annulation d’un accord sur les eaux.
Où se situent les affrontements ? À la frontière du Cachemire.
Quelle est la nature des affrontements selon l’Inde ? Des tirs non provoqués provenant de postes de l’armée pakistanaise.
* Quelle est la position d’Omar Abdullah ? Il a rejeté une enquête neutre proposée par le Pakistan.