Walkar, père de Shraddha Walkar qui a été étranglée par Poonawala et son corps démembré en 35 parties, a soupçonné un meurtre pré-planifié en voyant comment l’homme s’était déplacé avec sa fille à Delhi avant le meurtre quelques jours après avoir déménagé à Delhi. « Je ne pense pas que le crime soit dû à une rage soudaine. Il l’a tuée six jours seulement après avoir quitté Vasai et déménagé à Delhi », a noté Walkar.
Le père, qui est venu à Delhi le 9 novembre et est parti mardi chez lui à Vasai, Maharashtra, a parlé à TOI par téléphone depuis son domicile. Il a dit que le choc d’apprendre que sa fille avait été tuée était si grand que cela avait affecté sa santé. “J’ai dû aller voir un médecin, qui a trouvé que ma tension artérielle était élevée.”
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Il a dit qu’il était sidéré de se retrouver face à face avec un Poonawala imperturbable au poste de police de Mehrauli. “Il a admis l’avoir tuée et a continué à donner des détails sanglants. Comment pourrais-je rester là et écouter tout ça ? dit Walkar. Il avait parlé pour la dernière fois à sa fille en 2021, lorsqu’il avait appris d’elle qu’elle travaillait et vivait avec Poonawala.
Walkar a révélé qu’il n’aimait pas Poonawala bien qu’il n’ait jamais eu d’interaction directe avec lui. Il a révélé qu’il était contre la relation de Shraddha avec son éventuel meurtrier parce qu’ils appartenaient à des religions différentes. Mais, a-t-il ajouté, avant la mort de sa femme, ils s’étaient rendus chez Poonawala pour parler avec sa famille. “Nous avons senti que nous n’étions pas les bienvenus là-bas”, a-t-il déclaré.
Il a dit que Shraddha lui avait une fois avoué que son partenaire la battait souvent. “Je l’ai avertie plusieurs fois de le quitter, mais elle ne m’a pas écouté”, a-t-il regretté. Le père a ajouté qu’il avait finalement été contraint de porter plainte auprès de la police après que l’ami de Shradha, Laxman Nadar, ait appelé son fils, le plus jeune de ses deux enfants, en août pour l’informer qu’elle était injoignable au téléphone depuis un certain temps.
Walkar se souvenait de sa fille comme d’une fille pleine de vie qui rêvait toujours grand. “Elle parlait constamment de mener une vie heureuse, de posséder une maison et de profiter pleinement de la vie”, a déclaré Walkar.
Après la conversation inquiète de Nadar avec son fils, Walkar a déposé un rapport de personne disparue au poste de police de Manikpur dans le Maharashtra, conduisant finalement à l’arrestation de Poonawala à Chhatarpur Pahadi le 11 novembre.
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