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1 Flamand sur 4 ressent la « honte du trafic », « mais ce n’est vraiment pas nécessaire » | Carrière

1 Flamand sur 4 ressent la « honte du trafic », « mais ce n’est vraiment pas nécessaire » |  Carrière

Debout dans la circulation : c’est tout sauf une façon paisible de commencer votre journée. Les Flamands considèrent donc les embouteillages comme une grande source de frustration, voire de honte. Mais cela ne nous empêche pas de l’utiliser souvent comme excuse pour être en retard.

Ceux qui se retrouvent aux heures de pointe en se rendant au travail le matin le savent très bien : la frustration liée aux embouteillages. Vous vous sentez à l’opposé du “zen” lorsque vous êtes coincé sur la piste. Et ce n’est pas la meilleure façon de commencer une longue journée de travail. Pas étonnant que ce soit une grande source de frustration pour beaucoup. Quarante pour cent l’appellent la partie la plus désagréable de leur travail. 52 % chercheraient même un nouvel emploi pour cette raison.

Avez-vous des embouteillages ou vous en servez-vous comme excuse ?

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Et les embouteillages entraînent aussi des sentiments de culpabilité, chez près d’un quart de la population flamande. C’est ce qu’on appelle la « honte du trafic ». Quarante pour cent des jeunes salariés sont gênés par une matinée d’embouteillages et ont du mal à affronter leurs collègues après un gros embouteillage. C’est la conclusion d’une enquête auprès de 1.005 Flamands, menée par deals.be.

“Je suppose que personne n’est dans les embouteillages pour le plaisir”, déclare Vince Franke du site Web. « En ce qui me concerne, tu n’as vraiment pas à avoir honte de toi pour ça. Une heure de pointe matinale chargée est suffisamment stressante. Si vous vous souciez aussi de ce que pensent vos collègues, vous savez déjà d’avance que vous ne serez pas très productif ce jour-là.

Alors que beaucoup se sentent gênés, un cinquième d’entre nous utilise une heure de pointe matinale chargée comme excuse pour arriver en retard au travail.

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C’est comme ça qu’on en profite au maximum

Heureusement, il existe plusieurs moyens d’éviter un tel embouteillage. Le covoiturage, par exemple, et la moitié des Flamands qui travaillent sont prêts à se rendre au travail en voiture tous les jours avec des collègues du quartier. Les Brabançons (55 %) et les Limbourgeois (54 %) sont les plus enthousiastes à ce sujet. Les Bruxellois (28%) sont en revanche les moins disposés à rouler avec des collègues.

Ceux qui se retrouvent dans un embouteillage essaient souvent d’en tirer le meilleur parti. Pas moins de 21% de tous les répondants essaient toujours de faire le plus de travail possible lorsqu’ils sont dans un embouteillage. Assez remarquablement, ce sont surtout les hommes (24%) qui en profitent pour passer des appels professionnels, par exemple, et profiter de ce temps perdu. Chez les femmes, ce n’est que dix-huit pour cent.

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